Acteur.rice.s professionnel.le.s, les comédien.ne.s engagé.e.s par la metteure en scène étaient tou.te.s militant.e.s de l’égalité des sexes.
Surpris(e) par l’orthographe de cette phrase ? Bienvenue dans l’écriture inclusive.
Quésaco ? Un “ensemble d’attentions graphiques et syntaxiques permettant d’assurer une égalité des représentations entre femmes et hommes” (notez bien l’ordre). Ou, si vous préférez, un “ensemble de conventions simples pour cesser d’invisibiliser les femmes” (notez bien le verbe).
Il va falloir vous y faire : l’écriture inclusive pointe le bout de son nez, fortement encouragée par le HCE (Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes). Un premier manuel scolaire de CE2 vient d’ailleurs d’être publié par Hatier, entièrement rédigé en écriture inclusive.
Si la promotion de l’égalité homme-femme est à nos yeux une évidence, je crains que l’écriture inclusive n’apparaisse vite comme un repoussoir…
Envie de lendemains qui chantent ? En demande d’un avenir radieux ? Et accessoirement habité(e) d’une foi inébranlable dans l’intelligence artificielle (IA) ? Vous n’avez encore rien vu. Google a commencé à développer une IA dotée d’imagination. Donc capable d’appréhender les conséquences de ses actions. Et ce, sans dépendre en quoi que ce soit d’instructions humaines. Ca nous ouvre de vertigineuses perspectives, non ?
Il est américain, féru de Photoshop, et TRES serviable. Il s’appelle James Fridman. Si l’envie vous vient de faire retoucher une photo, pour une quelconque raison, envoyez-la à James en précisant ce que vous souhaitez. Il va s’exécuter. Et respecter li-tté-ra-le-ment vos consignes. Résultat ? Un grand éclat de rire devant des photos hilarantes ! Parce qu’il faut qu’on vous dise : l’ami James manie également à la perfection le second degré et l’absurde…