Les fake news, la désinformation, les comportements haineux prolifèrent et se banalisent sur les réseaux sociaux. Face à ce phénomène, que faire ?
Légiférer, comme le fait l’état français, au travers de lois ciblées (loi Avia contre la haine en ligne, loi anti-fake news) ? Des lois considérées par certains comme attentatoires à la liberté, qui délèguent la censure à des sociétés privées -Twitter, Facebook...- (le “patronnage” du CSA ne faisant que rajouter une couche d’arbitraire).
Laisser faire (et dire), et faire confiance à tout un chacun pour décider ce qu’il y a lieu de garder et de jeter (à l’instar de la récente position de Mark Zuckerberg vis-à-vis des propos de Donald Trump) ?
C’est toute la beauté et la faiblesse de la liberté d’expression : la défendre, c’est permettre l’expression du pire. La restreindre, c’est attenter à une de nos libertés fondamentales.
Choix cornélien…
La génération des baby boomers les a bien connues, suspendues au mur de la classe ou calées dans l’auget porte craie du tableau noir. C’est sans doute grâce à elles que cette génération est aujourd’hui incollable (ou presque) sur sa géographie ! Elles ? Ces cartes traitées en orthoimagerie (la topographie apparaît en relief). Un graphiste américain, Sean Conway, en réalise de superbes exemplaires, d’une remarquable précision. A explorer autant avec les yeux qu’avec les doigts !
Le confinement aura ébranlé pas mal de nos repères, au premier rang desquelles notre environnement de travail. Que nous soyons aujourd’hui en télétravail ou de retour dans nos bureaux, on est en demande de plus de calme et de zénitude. Ce qu’a bien compris myNoise, qui se propose de masquer les bruits subits en générant des sons appréciés. Voix, nature, transports, atmosphères… plus de 250 sons modulables disponibles, pour déconnecter.
A période exceptionnelle, dispositions exceptionnelles. Dans sa lutte contre la pandémie Covid-19, le gouvernement français a été amené à prendre une série (42 exactement) de mesures restreignant nos libertés et droits fondamentaux. Mesures adoptées “temporairement”. C’est bien cela dont souhaite s’assurer l’Observatoire des Libertés Confinées. Au travers d’un outil de suivi, actualisé chaque semaine, qui permet de vérifier que le temporaire… reste bien temporaire !
Ah l’URSS et ses satellites ! C’était le bon vieux temps… L’art y était politique, militant, pompier, patriotique, excessif ! Et accessible à tous, même au bord des routes. Comme en attestent les Google Street Views rassemblées par le photographe français Jason Guilbeau, qui témoignent d’une autre époque. Tracteur, locomotive, avion, autobus, faucille et marteau, vedette, épi de blé… : tout était bon pour magnifier la grandeur, les réalisations et les ambitions du défunt empire.
Evidemment, on ne vit pas de la même façon à Abidjan, Kiev, Barcelone ou Hanoi. Tout le monde le sait. Il existe toutefois un moyen d’en prendre conscience de façon plus aigüe : s’intéresser aux enfants dans leur univers. C’est tout l’intérêt du travail du photographe italien Gabriele Galimberti et de sa série de portraits d’enfants de 3 à 6 ans avec leurs jouets. Rapportées de 58 pays, ces photos posées et sobrement mises en scène constituent un bien beau témoignage.
A vous qui êtes en télétravail et qui cherchez à rester “dans votre bulle” ; à vous qui travaillez en open space et qui n’en pouvez plus du bruit ambiant, pensez japonais ! Et équipez-vous séance tenante de la tente de confidentialité portative 200 Tent001 (quel nom à la con, entre nous…). Entièrement noire opaque, dotée d’un puit de lumière et d’une “fenêtre” latérale pour la lumière du jour, elle est même équipée de poches de rangement. Et hop, au boulot.