Vous avez aimé le “green washing” (se donner une image de responsabilité écologique trompeuse) ?
Vous allez adorer le “woke washing”, qui connaît un coup de fouet dans la foulée du mouvement #blacklivesmatter. C’est quoi, être woke ? C’est se proclamer conscient des injustices sociales telles que le racisme, le sexisme, le patriarcat ou même encore les injustices environnementales et sociales. Et agir en conséquence.
Quelques exemples concrets ? L’Oréal qui retire les mots “blanc“, “blanchiment“ et “clair“ de tous ses produits destinés à uniformiser la peau. Le groupe Mars qui envisage de supprimer le personnage emblématique de Uncle Ben’s. Uber Eats qui décide que tous les restaurants tenus par des afro-américains aux USA et au Canada seront exemptés de frais de livraison. Johnson & Johnson qui arrête la vente de ses crèmes éclaircissantes. Et bien d’autres encore...
Alors, triste récupération mercantile, ou véritable prise de conscience et élan d’altruisme ?
Allez, bonnes vacances tout de même !
PS : numéro dopé aux hormones, pour patienter jusqu’à la Rentrée !
Depuis un an, entre le feuilleton des Gilets Jaunes, les incendies en Australie, la pandémie Covid-19 et aujourd’hui le #blacklivematters, il y a de fortes chances pour que vous vous soyez adonné au doomsurfing (ou doomscrolling sur smartphone). Une pratique qui consiste à engloutir sans fin des infos négatives, facilitée par les algorithmes de recommandation des réseaux sociaux et boostée par notre FOMO (fear of missing out). Prochain arrêt, le burnout ?
Les films de série B des années 60’ se reconnaissent immanquablement à leurs affiches : des accroches dopées aux testostérones, des titres flippants plein pot, des visuels ringards où d’affreux monstres menacent des femmes en petite tenue forcément terrifiées, et en bas de page un casting… aussitôt oublié. Un maître du genre fut Albert Kallis, dont voici quelques-unes des géniales créations. C’est kitch, c’est excessif, c’est ringard, mais c’est si bon !
La valeur n’attend pas le nombre des années. Et vice-versa : certains de nos seniors développent des capacités qu’on croit réservées aux jeunes. Ainsi de Hamako Mori, citoyenne japonaise de 90 ans qui vient d’obtenir le titre Guiness de joueuse vidéo la plus âgée du monde. Ils sont nombreux dans son cas : aux USA, 44% des plus de 50 ans jouent en moyenne 5 h/semaine, et dépensent 7 M$/an en contenus, jeux, objets virtuels, etc. Un segment marketing digne d’intérêt !
Notre bonne vieille Terre paraissant de plus en plus menacée, on en vient parfois à regarder plus loin, vers les étoiles, en quête de nouveaux horizons pouvant accueillir l’Humanité. Grâce au site interactif Solar System Scope, on peut à loisir explorer notre système solaire et, au-delà, notre galaxie. Et tout savoir, données scientifiques à l’appui (issues de la NASA), des planètes, comètes, étoiles, nébuleuses et autres constellations… Un voyage fascinant.
On commence seulement à en prendre conscience : le Covid-19 va laisser de profondes traces psychologiques chez certains individus. Prenez Tonya Ruiz, mannequin dans les années 80’ et fan absolue de poupées Barbie. Durant le confinement, elle s’est amusé à créer des packs Barbie (et Ken) illustrant ce que fut la vie en quarantaine : école à distance, cuisine home made, binge watching, grand ménage, dépression, réunions Zoom… Jouissif !
Et non, les paiements virtuels n’ont pas encore gagné la guerre, et les billets résistent toujours. Et c’est fou ce qu’ils peuvent raconter, ces billets ! Le site money.co.uk s’est amusé à décortiquer les caractéristiques de 157 monnaies en circulation : couleurs, personnages, animaux et bâtiments représentés, etc. Et a même dressé le portrait robot du billet-type : il est de couleur verte et met en avant un homme politique ou un aigle sur fond de château. Très instructif !
Si si, concilier le bon, le frais, le bio et l’éco-responsable, à un rapport qualité-prix imbattable, c’est possible. Grâce à nos copains de Lirok. Des déjeuners (formules street food ou bistronomie) préparés à la demande par Octave Kasakolu, chef 3 toques Gault&Millau, et livrés à votre bureau (Paris / petite couronne Ouest dans l’immédiat) en vélo-cargo. Franchement, à quoi bon aller s’entasser au RIE, faire la queue à la boulangerie d’en face ou payer une fortune à la brasserie du quartier ?
Il y a plusieurs signes qui indiquent que vous venez d’accéder à la célébrité – de votre vivant ou post-mortem – : la statue, le biopic, le nom d’une place ou avenue, la biographie en tête de gondole... On peut aujourd’hui en ajouter un nouveau : le cahier de coloriage. C’est ce qui arrive à Elon Musk, qui fait l’objet d’un “coloring book” imaginé par l’illustratrice Salina Gomez. Inspiré de certains de ses tweets, il illustre ses réalisations emblématiques depuis 4 ans. Why not ?