Avez-vous remarqué comme certains événements du calendrier ou mouvements protestataires sont enclins à s’approprier une couleur ?
Quelques exemples, au hasard : les événements tels que le Blue Monday (soit-disant le jour le plus déprimant de l’année), le Black Friday (et son exact opposé, le Green Friday), Octobre Rose (contre le cancer du sein) et Ruban Rouge (à arborer en solidarité aux personnes touchées par la Sida).
Les mouvements comme les Gilets Jaunes et leurs ancêtres bretons les Bonnets Rouges, les tristement célèbres Black Blocks, sans oublier les Marches blanches, marches silencieuses de soutien ou de protestation organisée autour de la mort d’une victime de fait divers.
On pourrait également mentionner certains soulèvements, ainsi des révolutions orange (Ukraine) et rose (Géorgie).
Gagnent-ils pour autant en popularité et en attractivité ? Not sure. En revanche, peut-être l’appropriation d’une couleur est-elle appréciée des médias, friands des formules qui claquent, facilement mémorisables. À valider.