Création

Streets of nowhere.

Des manifs. Des casseurs. Des panneaux en bois pour protéger les vitrines du vandalisme. Dernière étape de ce triste enchaînement : de l’affichage sauvage, à l’instigation de quelques agences de “guérilla marketing”. Des agences de pub qui ne s’embarrassent pas avec ces concepts has-been que sont la déontologie et la légalité. Ça coûte moins cher que de l’affichage traditionnel, ça fait “street art”, ça a de l’impact… Que demande le peuple ?

©Streetdispatch voir l'article
Top