J’ai envie de dire

Le bullshit rend-il sexy ?

La question revient régulièrement au sein d’Epicea (comme j’imagine chez d’autres agences de communication) : faut-il injecter des mots et concepts marketing à la mode – sachant que nombre d’entre eux relèvent du plus total bullshit – dans son pitch, sa plaquette, son site web, sa page Linkedin ?

Est-ce de nature à rassurer les clients ? À attirer les prospects ? Apparaît-on ainsi plus compétent, crédible, dans le mood ?

On y réfléchit… et puis on se dit que, finalement, le triple crédo qui nous a toujours inspiré, “simplicité - bon sens - mot juste”, doit être de nature à séduire les entreprises qui ne s’en laissent pas compter.

Parce que, franchement, est-on plus intelligent ou comprend-on mieux les enjeux des entreprises lorsqu’on se revendique du métissage data-créa, du prooftelling, de l’advocacy marketing, de l’omnicanalité, de la creative performance (ou la performance with purpose), de la consistency, de la brand suitability, de la confluence, de la création hybride, du precision marketing, du contributing, de la scalabilité ?

Doit-on s’afficher engagé, agile et résilient pour avoir l’air fiable ?

Pour nous, la réponse est dans la question !

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