Les entreprises traditionnelles de pompes funèbres doivent-elles s’inquiéter ? Le fait est que les nouvelles approches et techniques disruptives touchant à la mort et au funéraire – ce qu’on appelle désormais la death tech – déboulent en force.
Citons les services en lignes (accompagnement administratif, conseil et soutien moral, messagerie et célébrations virtuelles…), comme InMemori (pionnier et référence), Morning Blue ou Alana.
Mentionnons ce remarquable blog, véritable mine d’informations (et de réconfort), Happy End. Ou encore l’utile comparateur Obseques-Infos.com.
Evoquons ces innovations technologiques – qui ne sont pour l’instant toujours pas autorisées en France, contrairement à certains de nos voisins européens – dans la façon de “traiter” le défunt : aquamation ou résomation, promession, cryomation, humusation. Autant d’alternatives à l’inhumation et à la crémation, respectueuses de la l’environnement et faiblement consommatrices d’énergie.
Chez BienVu, on observe ce mouvement avec beaucoup d’intérêt, d’autant plus qu’il contribue à replacer la mort à sa juste place (“dans la vie, les chances de mourir sont de 100%”), au lieu de la taire, la cacher et en avoir peur.